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Roy Stuart’s Glimpse 21

Roy Stuart’s Glimpse 21
Roy Stuart’s Glimpse 21
Roy Stuart’s Glimpse 21

« For the fun? For the money? Nah, for the pleasure pleasure honey! »  

No more industrial porn! No more supermarket of sex!—This new Glimpse does however contain strong explicit scenes even though they have nothing to do with the sad industrial internet porn that relegates the mechanics of sex to crude functionalism.

In 2019 cinema has evolved to the stage where so called “normal” feature films are breaking new ground, enriching the narrative by including explicit scenes, directors such as Gaspar Noé, Lars von Trier, and John Cameron Mitchell, come to mind.
Glimpse is the alternative, The Third Way, here we are in the realm of contemporary art.

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There exists a liberal theory that Art disinfects erotism of it’s erotic value, and becomes safe  stamping it with the approval of an elitist culture. But the more cinematic arts of plotting, character development, production value, skillful casting, direction, film editing and music are used to shape explicit material, the more exciting, the more real it becomes.

In Glimpse we see an artistic expression as described by Angela Carter:
«…to use explicit material as part of the acceptance of the logic of a world of absolute license for all the genders and projecting a model of the way such a world might work…the total demystification of the flesh and the subsequent revelation, through the infinite modulation of the sexual act, of real relations of man and his kind….to reinstate sexuality as a primary mode of being rather than a specialized area of vacation from being ».
« If we could restore the context of the world to the embraces of these shadows then, perhaps we could utilize these activities to obtain a fresh perception of the world and, in some sense, transform it ».

Roy Stuart’s Glimpse 21
Roy Stuart’s Glimpse 21
Roy Stuart’s Glimpse 21

We lift the veil to see just such revelations via film’s first and most prominent sequence, a young nude model on her way to work, we see her posing for various amateur photographers, her work day over and what will come next? We see her entering  into a situation of the utmost surprise, a remote location, where she is methodically undressed by a stranger and mounted up on a cross of St. Andrew and …

Here the casting, characterization and direction is impeccable as well as the original music score including verses from Baudelaire’s «Poison». But most intriguing is that the «willing suspension of disbelief » that normally makes cinema narratives so compelling is itself notably suspended. Because now we are no longer in a fiction, this is the real and our attention drifts directly into a second & third degree, all eyes locked directly on this seemingly demure radiant girl, who is she?  Why and how did she come to  participate in this scene of such exquisite sexual intensity?…

Subversive and contemporary to say the least, after this new masterful, mellifluent demonstration (successfully explored for 20 years by the photo-filmmaker!) it is high time to bring the expression ‘The Third Way’ into the twenty-first tongue!

Roy Stuart’s Glimpse 21
Roy Stuart’s Glimpse 21
Roy Stuart’s Glimpse 21

Roy Stuart’s Glimpse 21

Le Glimpse du 21ème siècle est là !

«Fille frivole, que faites vous? Pour s’amuser? Pour le fric? Nah, pour le plaisir plaisir chérie! »

Plus de porno industriel! Plus de supermarché du sexe! – Ce nouveau Glimpse contient cependant de fortes scènes explicites, même si elles n’ont rien à voir avec le triste porno industriel sur Internet qui relègue la mécanique du sexe au fonctionnalisme brut.

En 2019, le cinéma est évolu au stade ou de longs métrages dits “normaux”, enrichissant le récit en incluant des scènes explicites, auxquels viennent penser des réalisateurs tels que Gaspar Noé, Lars von Trier et John Cameron Mitchell.
Glimpse est l’alternative, The Third Way, nous sommes ici dans le domaine de l’art contemporain.

Il existe une théorie libérale que l’art désinfecte l’érotisme de sa valeur érotique et qu’il devient sûr de l’imprimer avec l’approbation d’une culture élitiste. Mais plus les arts cinématographiques de l’intrigue, du développement des personnages, de la valeur de la production, du casting habile, de la mise en scène, du montage du film et de la musique sont utilisés pour créer du matériel explicite, plus c’est passionnant, plus il devient réel.

Dans Glimpse, nous voyons une expression artistique telle que décrite par Angela Carter:
«… Utiliser du matériel explicite dans le cadre de l’acceptation de la logique d’un monde de licence absolue pour tous les genres et de projeter un modèle de la façon dont un tel monde pourrait fonctionner… la démystification totale de la chair et la révélation ultérieure, à travers modulation infinie de l’acte sexuel, des relations réelles entre l’homme et son espèce…. pour rétablir la sexualité en tant que mode d’être principal plutôt que comme un domaine spécialisé des vacances ».
«Si nous pouvions ramener le contexte du monde à la portée de ces ombres, nous pourrions peut-être utiliser ces activités pour obtenir une nouvelle perception du monde et, dans un certain sens, le transformer».

Nous levons le voile pour voir de telles révélations via la première et la plus importante séquence du film, une jeune mannequin nue en route pour le travail, nous la voyons poser pour différents photographes amateurs, sa journée de travail est terminée et que suivra-t-elle? Nous la voyons entrer dans une situation de surprise extrême, dans un lieu éloigné, où elle est méthodiquement déshabillée par un inconnu et montée sur un croisement de St. Andrew et…

Ici, le casting, la caractérisation et la mise en scène sont impeccables, ainsi que la partition originale comprenant des vers du «Poison» de Baudelaire. Mais ce qui est le plus intriguant, c’est que la «suspension volontaire de l’incrédulité» qui rend normalement les récits cinématographiques si convaincants est elle-même suspendue. Parce que maintenant nous ne sommes plus dans une fiction, c’est le réel et notre attention se dirige directement vers les deuxième et troisième degrés, tous les yeux rivés directement sur cette fille radieuse et apparemment sage, qui est-elle? Pourquoi et comment est-elle venue participer à cette scène d’une telle intensité sexuelle?…

Subversif et contemporain pour le moins, après cette nouvelle démonstration magistrale et mellifluent (explorée avec succès depuis 20 ans par le photo-cinéaste!), Il est grand temps d’introduire l’expression «The Third Way» dans la vingt et unième langue! La Troisième Voie.

Roy Stuart’s Glimpse 21