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Roy Stuart’s Glimpse 13

Roy Stuart’s Glimpse 13
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Like the unknown woman imagined by the poet – which is never quite the same nor entirely different- this new Glimpse 13 resembles it’s twelve prestigious precedents while having its own distinct identity. Roy Stuart has put extra effort into the design and implementation of the twenty odd sequences that make up this diverse album. All the imagination, energy, expertise, as if making a feature film. Probably because he had been working on a feature film project earlier this year. This is especially true of the brilliant main sequence, which tells the story and contrast of two girlfriends-an inexperienced childlike beauty that recites romantic poetry in the street and a more mature girl who likes to show off in front of her webcam.-The younger girl opposes her friends twisted plan to use her as bait to pick up and rip off a guy -but who will come out on top? …

And of course, this is the DNA of Roy Stuart, a bevy of pretty girls – brunette, blonde or redhead, all generously unshaven, get naked, play ,evolve, caress, love, with intensity and authenticity and who sometimes spring golden sources. The work is multi-faceted- even the darkest expression projects a surrealistic life-force along with the lighter work which is sheer fun,… a playful shared wink straight from the artist himself…
Two and a quarter hours of pure pleasure once again, Roy’s magic! – Christian Noirot

Roy Stuart’s Glimpse 13

Telle la femme inconnue rêvée par le poète qui n’est chaque fois ni tout à fait la même ni tout à fait une autre – ce nouveau Glimpse ressemble aux douze prestigieux précédents tout en ayant sa propre identité.
Sans doute parce qu’il en avait un en projet cette année, plus que d’habitude encore Roy Stuart a mis dans la conception et la réalisation de la vingtaine de saynètes variées qui composent cet opus #13, tout l’imaginaire, toute l’énergie, tout le savoir faire – tout son art – comme pour la réalisation d’un long métrage. Cela est particulièrement vrai de la brillante séquence principale, qui raconte l’histoire tout en contraste de deux copines : l’une, beauté enfantine inexpérimentée qui récite de la poésie romantique dans la rue; l’autre, femme mature qui aime à se montrer devant sa webcam. La jeune fille veut résister au plan tordu de son amie qui a imaginé de l’utiliser comme appât pour attirer un homme et le voler … mais à la fin qui aura eu le dernier mot ?

Et puis bien sur, c’est l’ADN de Roy Stuart, un essaim de jolies filles – brune, blonde ou rousse mais toutes dotées de généreuses toisons naturelles – qui se dénudent, jouent et évoluent avec grâce ; se caressent, s’aiment, jouissent authentiques avec intensité … parfois même jaillissent leurs sources.
L’œuvre est multiforme, même l’expression la plus sombre projette une force de vie surréaliste qui s’allie harmonieusement avec le travail plus léger qui est pur plaisir … un clin d’oeil espiègle de l’artiste directement par lui-même.
Deux heures et quart de pur plaisir : une fois de plus, Roy est magique !
– Christian Noirot

Roy Stuart’s Glimpse 13